Lennon-Arizona A. Wilson lee ☞ If You're Just An evil bitch then Get Over It
◮ naissance : 11/05/2010 ◮ meurtres commis : 631 ◮ avatar : ninasexydobrev ◮ citation : le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche. ◮ statut : je l'aime encore mais je ne sais pas si je suis prête à lui pardonner.
| Sujet: lennon-arizona ☞ nous tombons pour mieux apprendre à nous relever. Mer 29 Fév - 13:46 | |
| lennon-arizona azalee wilson “ la vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. you know i'm here
NOM Ҩ Wilson est le nom de famille de ma mère. Je ne connais pas celui de mon père et je n'ai pas voulu prendre celui de mon beau-père. PRÉNOMS Ҩ Lennon-Arizona Azalee SURNOM(S) Ҩ ils sont divers et variés. Lee, LA, Leen. ÂGE Ҩ vingt-deux ans. DATE DE NAISSANCE Ҩ j'ai vu le jour un beau jour de septembre, le 15 pour être exacte. LIEU DE NAISSANCE Ҩ Gotham comme tant d'autres personnes. CAPACITÉS Ҩ une bonne maîtrise des arts martiaux. c'est se servir de toutes les armes à feux. STATUT CIVILҨ célibataire. ACTIVITÉ(S) Ҩ secrétaire à Wayne Entreprises & tueuse à gage pour the Red Circle. CARACTÈRE Ҩ impulsive, franche, têtue, bornée, sportive, manipulatrice, directe, charmeuse, bavarde, solitaire, secrète. SECRET(S)Ҩ elle ne connait rien du métier de secrétaire. son entrée dans Wayne entreprises est une arnaque pour ruiner l'entreprise. SIGNE(S) PARTICULIER(S)Ҩ elle a un tatouage dans le bas du dos qui représente une épée enroulée dans une rose. GROUPE Ҩ the red circle. if we exchanged the roles. raffole des m&ms, de la glace au caramel et des gauffres au nutella ◦ a peur des clowns et du vide ◦ perd tout le temps son portable ◦ conduit une chevrolet ◦ a fini deux fois en garde à vue ◦ préfère la nuit au jour ◦ dort avec un couteau sous son oreiller ◦ a deux chats ◦ a vu Beetlejuice vingt fois ◦ fait un footing tous les jours ◦ ne tient pas l'alcool ◦ ne porte jamais de sac à main ◦ se mord la lèvre inférieur quand elle réfléchit ◦ sa mère est son héroïne, son modèle ◦ déteste les contes de fées ◦ ne fait pas confiance en la gente masculine ◦ collectionne les vinyles ◦ est une grande bordélique ◦ you give love a bad namePSEUDO/PRENOM Ҩ écrire ici CONNEXION Ҩ écrire ici OU AS-DÉCOUVERT LE FORUM Ҩ écrire ici. CODE DU RÈGLEMENT Ҩ écrire ici. UNE SUGGESTION ? UN AVIS ?Ҩ écrire ici. UN DERNIER MOT Ҩ écrire ici. - Code:
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[size=11][b]AVATAR TOUT EN MAJUSCULE[/b] ☞ [i]personnage tout en minuscule[/i][/size]
Dernière édition par Lennon-Arizona A. Wilson le Mer 29 Fév - 18:24, édité 15 fois |
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Lennon-Arizona A. Wilson lee ☞ If You're Just An evil bitch then Get Over It
◮ naissance : 11/05/2010 ◮ meurtres commis : 631 ◮ avatar : ninasexydobrev ◮ citation : le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche. ◮ statut : je l'aime encore mais je ne sais pas si je suis prête à lui pardonner.
| Sujet: Re: lennon-arizona ☞ nous tombons pour mieux apprendre à nous relever. Mer 29 Fév - 13:46 | |
| chapitre 1 Qui n’a jamais voulu avoir la vie parfaite, la vie sans accroche, sans bavure, sans problème. Vivre sans père n’a jamais été un véritable problème pour moi. On en prend l’habitude et on se dit que s’il n’est pas là, c’est qu’il n’en vaut pas le coup. Pourtant, à certains moments, on ressent ce besoin, cette solitude de ne pas savoir d’où on vient et quel sang coule dans nos veines. Ma mère est la personne que j’aime le plus au monde et je ne cesserais jamais de le dire. Seulement, j’ai eu ce manque, ce besoin de réponses. « Lennon, dépêches-toi, tu vas être en retard pour le lycée. » cria-t-elle dans l’escalier alors que j’étais juste sur la première marche. J’aurais pû attendre le soir pour la confronter à mes questions. Seulement, j’en avais besoin maintenant. Je la regardais sachant parfaitement qu’elle allait savoir que quelque chose me tracassait. Elle lit en moi comme dans un livre, alors pas besoin de lui mentir. « Lennon, je ne crois pas que c’est le bon moment pour parler de ça. » lâcha-t-elle en attrapant son sac en commençant à ouvrir la porte de la maison. « Ça ne sera jamais le bon moment, je le sais bien. Mais j’ai besoin de savoir, de pouvoir boucher les trous, de pouvoir tirer un trait et avancer. » je me plantais devant elle la regardant droit dans les yeux. « Je suis prête à tout entendre même le pire. » Elle ferma la porte, posa son sac et m’invita à m’asseoir dans la cuisine. Je la regardais sortir deux tasses pour nous préparer du thé. « Ton père n’était pas le pire des enfoirés. Quand on le connaissait bien, c’était quelqu’un de bien, qui se donnait une image.» Elle s’arrêta quelques secondes. « Nous étions jeunes. J’avais ton âge et la vie devant moi. J’aimais ma carrière, et j’aimais ton père. » Une fois, les deux thés prêts, elle s’installa à côté de moi. Je vins mettre ma main sur la sienne la serrant légèrement. Je savais qu’elle avait souffert et que peut-être, elle en souffrait encore. « Quand j’ai appris que j’étais enceinte, je ne l’ai pas tout de suite dit. Et puis, un jour, j’ai pensé que c’était le bon moment. Enfin de compte, ça ne l’était pas. Ton père n’était pas prêt à avoir un enfant et je le comprends. Il est partit et je ne l’ai plus jamais revu. » Elle me prit dans ses bras et me serra fort en m’embrassant les cheveux. « Tu n’as pas besoin de lui, Lennon. C’est lui qui a raté la plus belle chose au monde. » Je ne sais pas si ça me faisait du bien ou si la haine à son égard n’était que plus grande. J’étais peut-être un accident, un accident inattendu dans la vie d’un adolescent et d’une adolescente. Cependant, je savais que pour ma mère, c’était loin d’être le cas. chapitre 2 Tout repose dans votre main. Dans votre regard. Vous êtes le maitre, celui qui a la vie de la cible dans la main. Rien ne doit barrer votre chemin car ils seront nombreux. des phrases raisonnant dans ma tête. Première mission. Et surement pas la plus facile. De nombreuses heures de préparation, une mère qui fait tout pour vous dissuadez, votre esprit qui fait le pour et le contre. Rien n’est facile et ce choix que j’ai décidé de faire, je le dois qu’à moi. je n’ai jamais voulu être comme les autres. Et je ne l’ai jamais vraiment été. Enfant, je préférais me battre au lieu de jouer à la barbie. Je suis capable de pire, et ça ne me fait aucunement peur de tuer quelqu’un. Non, ce qui fait naitre ce questionnement n’est autre que le fait d’être à la hauteur de la tâche. Je veux pouvoir voir dans les yeux de ma mère de la fierté et qu’elle ne doute plus sur le fait de m’avoir fait rentrer dans l’organisation. Ma première cible était d’une simplicité apparemment. Je devais tuer un homme qui faisait un trafique de drogues dans l’un des quartiers. Ça ne plaisait aucunement à l’organisation et il voulait le voir disparaître de la surface de la terre. Habillée de noir, je me glissais par la fenêtre de leur miteux appartement de Grande Avenue. Selon les informateurs, il était seul dans son appartement, ne laissant aucun témoin. Doucement, je cherchais la cible dans chaque pièce. C’est dans la salle de bain que je le trouvais en train de se raser. Sortant une corde ma poche, je la tendais devant moi. À pas discret, je me glissais dans son dos et d’un seul coup, je l’étouffais. Ne lâchant pas ma prise jusqu’à que son cœur cesse de battre, je le déposais au sol. Je m’apprêtais à sortir lorsque la porte de l’appartement s’ouvrit sur une femme. Elle se mit à crier voyant le corps de l’homme sans vie. Sortant mon pistolet, je tirais. Je ne pouvais pas laisser cette femme tout dire à la police. Je ne voulais pas faire une victime mais je n’en avais pas eu le choix. Soyez intelligent et ne laissait jamais rien paraître suspect ou mettre la police sur notre trace. Utilisez votre environnement. Il est votre meilleure arme face aux problèmes qui peuvent survenir. Car oui, rien n’est parfait. Je plantais mon arme dans la main de l’homme. La police pensera qu’il la tuait. Puis trouvant une vieille corde, je la glissais autours du cou de l’homme. Tout cela passera pour un règlement de compte. Et aucune enquête ne verra le jour. Du moins, j’espérais que ça soit vraiment le cas. La panique ne devait pas prendre possession de moi. J’étais douée pour ça et les imprévus arrivent constamment. Bien que ça me travaillait d’avoir tuée une femme innocente. Faisant le parcours dans le sens contraire pour rentrer à la maison. Je ne prenais pas le temps de parler à ma mère et je montais directement dans ma chambre. Je la vois débarqué sur le seuil avec son élégance constante et sa surprotection maternelle. « J’ai tué quelqu’un qui n’était pas dans le programme. Elle est arrivée alors que j’étais entrain de quitter l’endroit. Je sais que ce n’est qu’un accident cependant elle était innocente. Son heure n’était pas encore arrivée. » J’attrapais un coussin et le mit entre mes jambes et mon ventre. « Je ne devrais pas être contrariée de la sorte après tout je vais en voir pleins d’autres. Mais ça fait juste bizarre comme première fois. » Ce que j’avais ressentit ce jour-là, fut la première et la dernière fois que ça arriva. De la peine pour une vie, je ne le ressens même plus aujourd’hui. Quand je tue, ça ne me fait plus rien. C’est devenu banal. chapitre 3 Mademoiselle Wilson, veuillez me suivre pour votre entretien. Dans une tenue impeccable et digne d’une demoiselle, je suivais cet homme à moitié chauve. L’endroit était plutôt lumineux et cela venait surement des immenses vitres dans chaque couloir. Wayne Entreprises. Société connue de tous dans Gotham et joyau de la ville. Ma venue ici n’était pas anodine. Pour l’instant, je devais me concentrer sur mon rôle et faire en sorte qu’on m’embauche comme secrétaire de Bruce Wayne. Moi, secrétaire, ça m’avait bien fait rire. Pourtant il semblait que je sois la seule capable d’une telle mission. Je savais me débrouiller avec un ordinateur et répondre au téléphone ne serait pas bien difficile. Rien n’était gagné. C’est dans une petite pièce que je pris place face à l’homme. Il me regarda et jouant avec mon charme, je passais ma langue sur mes lèvres. Il sortit mon cv et ma lettre l’étudiant rapidement. Votre CV est incroyable. Et vous avez bien fait de venir frapper à notre porte. Wayne Entreprises peut faire votre bonheur, si vous êtes prête à vous lancer dans l’aventure. Croisant mes jambes, je ne jouais en aucun cas à la petite secrétaire idiote, incapable d’avoir un sujet de discussion. Non ce n’était pas comme ça que je devais être. Je devais être bien plus, je devais montrer que j’avais les capacités de tout faire. « Oh mais je suis sûre de me plaire dans un tel environnement. Une société comme celle-ci est tout ce que j’attends. » Un peu trop pour une secrétaire. Mais il semblait satisfait de ma réponse. Je m’attendais à bien plus de questions. Pourtant, rien, il se leva et me tendit une main que je serrais. Bienvenue dans les entreprises Wayne. Dans l’ascenseur, je me calais contre le bord toute souriante. Ça avait été d’une simplicité enfantine. Un début fort prometteur. J’étais seule. Je décidais d’attraper mon portable et de composer le numéro d’un des membres de l’organisation. Au bout de deux sonneries, il décrocha. Je sortis une sorte de mot de passe qui servait à nous reconnaître. « Mission accomplie. Vous avez à l’appareil la nouvelle secrétaire de Bruce Wayne. Cela a été bien plus facile que ce qu’on avait préparé. Je passe à l’étape B. » je raccrochais le téléphone sortant du bâtiment qui surplombait le centre-ville de la ville. L’homme ne peut résister au charme d’une femme. N’hésite pas à l’utiliser et à t’en servir. Ne pense jamais que ça ne sert à rien. Maman avait raison et j’en avais la preuve. Ça avait parfaitement marché avec l’homme des ressources humaines. Un jeu de jambes et me voilà secrétaire alors que je n’ai jamais fait d’étude pour ça. Comme quoi, l’homme peut être d’une stupidité. chapitre 4 Il était environ minuit quand j’arrivais devant l’appartement de Wayne. Je ne saurais dire ce que représentait Wayne pour moi, seulement je savais que je ne voulais pas le voir sortir de ma vie. je n’arriverais peut-être jamais à le dire de vive voix mais la façon dont j’agissais avec lui, le montrait clairement du moins, c’est ce que je pensais. Je frappais trois coups à la porte avant qu’il n’arrive pour m’ouvrir. Le sourire qu’il avait l’habitude d’avoir sur le visage était absent. J’entrais et je retirais ma veste pour ensuite venir déposer un baiser sur ses lèvres. Aucun retour. J’étais comme une idiote attendant quelque chose qui n’allait pas arriver maintenant. « Je peux savoir ce qui se passe ? » demandais-je en m’installant sur le canapé. J’essayais de comprendre, d’avoir la réponse à son comportement inhabituel. « J’ai perdu mon job. Et tout ça à cause de toi. Ils se sont rendu compte que je couvrais quelqu’un, que je couvrais tes saloperies de meurtres et tes manigances. » s’énerva-t-il contre elle en donnant une grande claque dans un verre qui trainait près de sa main. Les morceaux étaient éparpillés sur le sol et il ne les ramassa pas. Il se dirigea vers moi et me força à me relever en me prenant par les épaules. Il pouvait être un homme doux puis l’instant d’après, entrer dans une colère folle. C’est ce que j’aimais en lui, cette impulsivité qui le caractérisait si bien. « Tu ramènes toujours tout à toi. Tu es le nombril du monde alors met tout sur mon dos. Je ne t’ai jamais demandé une telle chose. Tu n’avais pas à me couvrir, je suis une grande fille qui n’a pas besoin d’aide. » lui crachais-je au visage en essayant de me délivrer de son emprise. Je ne lui avais jamais rien demandé. Et si j’avais sû, je ne lui aurais jamais parlé de ce que je faisais. J’aurais dû garder ça pour moi comme je le faisais d’habitude. « Et en plus, t’ose me dire ça. Tu n’en as que faire, car tu sais que tu pourras t’envoyer en l’air avec ton blondinet. Tu crois que je sais rien, que je n’ai rien deviné. Je sais tout. » La surprise se lisait mon visage. Il me lâcha en gardant son visage colérique, plein de haine. « Tu t’es jamais demandé pourquoi je faisais ça. » les larmes commençaient à perler sur mes joues. Cependant, ce n’est pas pourtant que je cessais de m’énerver contre lui. J’avais beau paraître forte de l’extérieur, j’étais comme tout le monde à l’intérieur. Des faiblesses. « si tu ne pensais pas qu’à toi, tu verrais à quel point je t’aime. » dis-je dans un dernier élan avant de claquer la porte de son domicile. |
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