you know i'm here

NOM Ҩ Tamblyn PRÉNOMS Ҩ Bacchus, Gale SURNOM(S) Ҩ Bacc'y. ÂGE Ҩ 33 ans. DATE DE NAISSANCE Ҩ 06 avril. LIEU DE NAISSANCE Ҩ Gotham City. CAPACITÉS Ҩ Il peut modifier les probabilités de chance, les augmentant ou les diminuant. STATUT CIVILҨ Célibataire. ACTIVITÉ(S) Ҩ Directeur des Casinos et clubs pour adultes du groupe Tamblyn. CARACTÈRE Ҩ Langue de vipère - Diva - Avare - Alcoolique - Maniéré - Pervers - Très troisième degré - Vindicatif - Déluré - Festif. SECRET(S)Ҩ A tuer son père pour hériter du groupe Tamblyn et devenir actionnaire majoritaire. SIGNE(S) PARTICULIER(S)Ҩ Très maniéré, il ne passe jamais inaperçu et sa sexualité n'est jamais bien difficile à deviner dés le premier regard. GROUPE Ҩ Beautiful Humans.

if we exchanged the roles.

Dés le réveil, il lui faut son verre de Chardonnay ◦ Il est riche à milliards, mais il en veut toujours plus : n'hésitant pas à se faire installer une baignoire en or dans sa salle de bain ◦ C'est une grande image de la bourgeoisie de Gothan City ◦ Il ne loupe aucun bal et événement commémoratif ◦ Il paye très cher pour connaître le secret des gens ◦ Il adore faire chanter ou chuter une personnalité ◦ Ses jeux préférés sont la roulette et le poker : Grâce à son don, il n'a jamais perdu jusqu'à ce jour ◦ Il n'aime pas se salir les mains : Il a donc des hommes de main pour le sale boulot ◦ Il couche avec tout ce qui passe ◦ Il adore parier ◦ Il ne porte que des affaires de grand couturier ◦ Il déteste marcher ◦ Il ne supporte pas qu'on le contredise ◦ Il aime voir les gens souffrir ◦ Il a une sainte horreur du sang ◦ C'est un faux gentil ◦ Il fait toujours bonne figure devant la presse et le reste du monde ◦ Il adore mettre les gens mal à l'aise ◦ Il adorait mettre personnellement une bonne petite fessée au grand Bruce Wayne.

the story of my life.


«  Et, bien, monsieur Atford ? On abandonne ? » , demandais-je avec mon sourire jusqu'aux oreilles.

Je passais mon doigt autour de mon verre de Chardonnay, l'ambiance dans la pièce était lourde malgré la climatisation et mes serveuses au petit soin pour mon joueur en pleine déroute. C'est vrai qu'il commençait à avoir beaucoup d'argent sur la table. Je commençais pour ma part à empiler mes jetons comme deux tours imprenables.

« Je vais prendre deux nouvelles cartes... », demanda mon grand mania de la finance qui suait dans son costume Armani impeccable.

Moi, cette odeur de sudation excessive commençait à m'exciter au plus haut point. Je croisais les jambes avec malice comme une de ses actrices de vieux films d'avant-guerre. Je n'avais pas besoin de regarder mes cartes ou de demander une nouvelle main. C'est peut-être pour cela que je le perturbais mon voisin de table. Je n'avais pas touché mes cartes. Il devait se demander, comment pouvait-il être aussi sûr de lui ? C'est simple, je trichais ! Je vous rassure, il n'avait aucune carte dans mes manches et le croupier ne m'avait pas avantagé. C'était tout simplement mon don. Une capacité qui m'avait tant apportée avec les années. Je pouvais modifier les probabilités de chance. C'est que mon voisin avait misé beaucoup ce soir. Il avait le vice du jeu dans le sang. J'en avais connu beaucoup comme lui. Il ne savait pas s'arrêter. Moi, je m'amusais comme un petit fou. Le croupier en termina avec nos petits jeux et nous demanda très solennellement de relever nos mains.

«  Quinte Flush ! », rétorquais-je tout triomphant.

Mon cher monsieur Atford s'écroula sur la table et je pouvais me nourrir de son désespoir. Vu ce qu'il avait perdu cette nuit, mon banquier allait passer le reste de sa vie à me rembourser. Je m'approchais de lui, comme le diable que je pouvais être dans mon costume impeccable et mes manières d'un autre temps. Cela l'énervait je pouvais le sentir. J'avais ébranlé l'égo d'un vrai mâle ce soir. Un Homme qui détestait l'image que je pouvais renvoyer. J'étais une aberration pour lui. Comment un Tamblyn, né avec une cuillère en argent dans la bouche pouvait préférer les hommes ? Le dernier des héritiers d'une des grandes fortunes de Gotham. Et, ne pas comme lui s'afficher avec la dernière playmate sans cervelle à la mode ? Pourquoi je n'étais pas un Bruce Wayne ? Lui, c'était un vrai Homme ! Je posais ma main tout fier de ma différence sur son épaule déjà bien accablé.

« Je pense que vous avez perdu votre pari, mon ami ? Vous devez me donner tout ce que je désirais, non ? » Mon adversaire malheureux se retourna alors violemment vers une charmante blonde qui avait l'âge d'être sa fille malgré sa nouvelle poitrine offerte surement pour son anniversaire. « Non, vous allez pas faire cela à ma femme ! » Sa femme ? J'aurais pu en tomber sur place, mais à la place j'explosais de rire tout en tapotant sa joue. Et, c'était moi le déviant ici ? Ils avaient quoi comme différence d'âge ? 40 ans ? Ça c'était dégoutant ! Mais, je n'étais pas ici pour juger. Je sirotais plutôt à la place une nouvelle gorgée de mon millésimée. « Mais, pour qui me prenez-vous, monsieur Atford ? Je ne suis pas un monstre. Je ne touche pas aux femmes, ni aux enfants.  » Je commençai à masser ses épaules, puis je fis un signe de la main à mes hommes de mains pour qu'ils s'empressent de saisir mon invité. Sa femme-enfant hurla et deux nouveaux hommes l’aidèrent à quitter notre petite partie privée. « Par contre, j'aimerais vous apprendre une leçon. Elle fait mal. Elle est humiliante. Mais, ce soir vous allez prendre cher, Monsieur Atford et je vais me faire une joie de filmer votre leçon. Comme cela je l'enverrais à tout Gotham ! Et, tout le monde pourra confirmer quel bel enculé vous êtes ! Opps ! Je deviens malpoli, pardonnez-moi. »

Je claquai de mes doigts et mes gorilles s’occupèrent du cas Atford. Il hurla alors qu'il fut trainé à l'arrière jusqu'à mes cabinets privés. J'avais fait aménager cela dans tout nos casinos. D'abord, ces petits salons privés avec des murs très épais. Je recevais souvent des malfrats et je voulais qu'ils se sentent en sécurité. Je faisais comme si je ne voyais rien de leurs trafics et en échange j'avais droit à des enveloppes sous la table. J'avais de tout dans mes casinos et mes clubs pour adultes. C'était mes bébés ! Ils me permettaient de rester connectés à la perversion humaine qui dégoulinait de cette ville. Je n'avais rien inventé. Par exemple, si vous saviez combien j'allais vendre les mésaventures de mon cher Atford à ses concurrents ? « Bon costume de cuir ou pas costume de cuir ce soir ? », m'interrogeais-je à haute voix pour moi-même. Ce soir encore, je m'amusais comme un petit fou.

you give love a bad name

PSEUDO/PRENOM Ҩ Serah CONNEXION Ҩ 4/7 OU AS-DÉCOUVERT LE FORUM Ҩ Bazzart CODE DU RÈGLEMENT Ҩ validée par Lennon. UNE SUGGESTION ? UN AVIS ?Ҩ Nope. UN DERNIER MOT Ҩ Bruce wayne, ce soir tu vas prendre !

Code:

[size=11][b]ZACHARY QUINTO[/b] ☞ [i]bacchus g. tamblyn[/i][/size]