Mission 2 ☞ le bon et la brute.

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mission 2

“ le bon et la brute.

Minuit trente-six minutes et vingt-secondes, l’heure des songes pour certains et pour d’autres, l’heure du crime. Un vent léger souffle sur la ville et le brouillard s’est emparé des rues jusqu’à la moindre ruelle. Pourtant, rien ne semble distraire les deux individus qui se retrouvent face à face. Le bien contre le mal. Le paradis contre l’enfer. Deux opposés avec des visions mondes différentes. Mais une seule envie devenir le héros de Gotham ou le plus grand criminel de la ville.

explications

Alors voici les explications afin que tout soit bien en place. Je rappelle que ça se passe en trois réponses chacun. Le PNJ peut s’incrusté dans la mission si jamais ça part trop dans tous les sens ou pour vous aidez si vous êtes bloqués. On va jouer avec le lancé de dés. Donc c’est très simple. Quand vous postez une réponse faites-le bien en faisant « répondre » et non pas en réponse rapide. Après avant de valider votre réponse, vous verrez une partie lancé de dés. Vous sélectionnez « combat » et garder un lancé à part si votre personnage a fait plusieurs attaques. Si jamais c’est le 1 qui sort, votre attaque est réussit. Et si c’est 2, il n’a rien eu. Donc le prochain devra faire par rapport à ça. J’espère que c’est compréhensible. N’hésitez pas à m’envoyez un mp si vous n’avez rien compris. Pour savoir qui est le premier à commencer, j’ai fait un lancé de dé. En mettant dimitri avec le numéro 1 et Skyler avec le 2. Le 2 est sortit. Donc Skyler commence. Bonne mission et que le meilleur gagne.

Vingt-deux heures tapante.

Un sourire sur les lèvres, je préparais mes affaires dans ma chambre. Sur mon lit, un briquet, de l’essence, mon habituel manteau de cuire ainsi que mon masque. Il représentait une tête de mort assez effrayante. Du sur-mesure fait par un particulier qui avait pour habitude de garder le silence sur ses clients. Habituellement, je préférais le maquillage, puisque ce masque me démangeait tout le temps, mais bon, là où Dimitri et moi allions ce soir, il y avait des risques que les extincteurs partent et fassent couler tout mon maquillage. Juste à cette pensée, je ris. Pourquoi? Juste comme ça…

Vingt-deux heures cinquante minutes.

Je suis dans la rue, je marche. Rien ne semble me retenir. Autour de moi, il y a un brouillard. Je n’y vois pas grand-chose. Au-dessus de ma tête, les éternelles boules de feu tournent. Elles éclairent ma route, m’empêchant de trébucher ou de m’écarter du droit chemin… Droit… c’est une façon de parler. Dimitri et moi avons rendez-vous. Il me tarde de le voir. Pas que j’aille vraiment besoin de lui pour faire ce que je m’apprête à faire. Mais sa présence m’aide. Il n’est pas mon ami, il n’est qu’une vague connaissance, mais il est surtout mon partenaire de crime. Je le vois nager entre deux eaux. J’ai peur qu’il ne tombe jamais du côté obscure de la force.

Je suis arrivé. La banque est devant mes yeux. Dimitri est là aussi. J’arrive à ses côtés. « Prêt Dim-Dim? » Et c’était parti pour le cambriolage de banque.

Minuit trente-six minutes et vingt-secondes

Un léger vent s’était installé autour de la scène et le brouillard était encore plus dense. Devant moi, Dimitri se tenait en position défensive. Derrière nous, la banque brûlait lentement, tout doucement. La police ne tarderait pas à être là, alertée par les voisins, mais je n’en avais rien à foutre. Il y avait un différent beaucoup plus important à régler qui se jouait maintenant, devant mes yeux. Ce que j’avais toujours redouté se produisait à l’instant-même. « Qu’est-ce qu’il y a Dim-Dim? Tu voulais pas que je brûle le gentil monsieur? C’est pour ça que tu pètes un plomb là, maintenant? » lui demandais-je, avec mon sourire narquois qui ne reflétait pas de réelle émotion.

En effet, dans la folie du moment, j’avais presque immolé le gardien de sécurité. Dimitri m’en avait empêché à la dernière seconde. Ça m’avait fâché. Je détestais qu’on m’interrompe dans mon délire et le fait que ce soit Dim qui m’en empêche m’avait perturbé encore plus. « T’as tué des gens Dimitri! Pourquoi ça te dérange maintenant ce que je fais? » lui demandais-je.

Derrière moi, je façonnais déjà une boule de feu en plus de celle qui dansait au-dessus de ma tête. Mon masque était à moitié brûler et ma peau aussi. Il m’avait déconcentré. Il allait payer pour ça. Le tuer? Peut-être… s’il ne me laissait pas le choix.

La boule de feu devint bientôt un phoenix de feu. « Tu veux vraiment te battre? Parce que je n’en vois pas l’utilité… mais si tu insistes! » et l’oiseau de feu alla directement dans sa direction. Est-ce que ça allait l’atteindre? Ou pas?

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'Combat' : 2

De l'intérieur, on ne voyait rien. On entendait juste, mais c'était habituel. La sirène des pompiers, le vrombissement des moteurs, les bouteilles de bières qui se brisent sur les comptoirs, les claquements de talons contre l'asphalte. Dimitri avait laissé filer, comme suggéré d'ordinaire. Mais cette fois, elle avait arraché sa vie dans ses moindres recoins. C'est beau l'amour qu'elle disait, Mia. Non, c'est dégueulasse comme de la fange, l'amour. Tu te noies dedans et ça te convient d'y baigner, jusqu'à ce que l'on vide la baignoire. Elle - Carmen - cette salope qu'il n'arrivait pas à détester, avait oublié son rouge à lèvres très cher sur la céramique de son lavabo. Il n'y avait pas touché, son odeur régnait sur la serviette de bain, l'enveloppe des oreillers, les draps. Elle avait écrit, sur un coin du miroir dream softly au feutre. Dimitri ne voulait plus y foutre un pied. C'est vrai que cette pute l'avait vacciné avec son départ.

Je t'aime beaucoup Dimitri mais ce n'est pas possible.

C'est ça, casse toi. Prends pêle-mêle tes soutiens gorges, la dentelle de tes culottes, ta peluche bleue et moche, tes dvd pourris, remballe tes affaires, ta chevelure brune et ta bouche sucrée comme une cerise, cache ton grain de beauté sensuel derrière la bretelle de ton top et dégage. Dégage, il aurait dû le lui dire pour paraître un peu moins pathétique. Il y avait de quoi devenir fou. Dimitri avait fermé les yeux en l'entendant descendre la cage d'escalier pour pouvoir respirer et imprimer ses derniers sons. Et voilà. C'était terminé, l'histoire d'amour, la belle et la bête. On sombre comme le Titanic sauf que nous, on est coupé en deux de l'intérieur et ce sont nos milliers de particules qui hurlent et se noient. Elles ne survivront pas.
Il s'est assit sur sa chaise. Dehors il pleut, c'est normal. C'est Gotham, les pluies d'acides ne durent jamais longtemps. C'est de la pisse de moineau. Le téléphone vibre et le coupe du sevrage forcé auquel il pense. C'est Skyler. Une pensée lui vient, comme ça. Ce mec, c'est peut-être le dernier des trous du cul, mais il deviendrait gay pour sa gueule, parce que c'est plus facile de savoir qu'on se fait baiser par un connard. On anticipe mieux.

-T'es pas obligé de faire du zèle. il y a quelque chose dans sa voix traînante qui signifie tu fais chier, pas maintenant. mais Skyler a pas l'air de saisir. Il a quand même rassemblé les milliers de particules qui tournoient derrière lui en une flamme qui le menace directement. Et merde, ils ont fait un conciliabule pour le faire chier, aujourd'hui ? Il observa le Pheonix et son maître, le désordre ambiant de la rue, il écoutait l'alarme de l'incendie, les cris. Bientôt, il y aurait un tas de ces connards de flics qui débarqueraient l'arme au poing. Bientôt.
- La différence, Skyler, c'est que je tue par nécessité quand tu le fais par plaisir. Ses mots il les dit, mais ça ne sert à rien. Il s'écarte vivement, s'écrase contre le béton et sa joue saigne alors qu'il roule sur lui même. La boule de feu s'écrase plus loin, et il se relève en chevrotant. Y a un morceau de verre qui s'est figé à l'intérieur de son bras, dans sa chute. C'est douloureux et le sang fleurit derrière le cuir de sa veste.

Skyler reste Skyler. Il n'a pas envie de le tuer, il n'a même pas envie d'essayer et ça le perdra surement. Brusquement, il se concentre sur la carcasse du pneu. Ce n'est pas suffisant pour le buter, mais il serait bien heureux de simplement l'assommer. L'objet tremble un peu sur lui même, puis se soulève. Les synapses sont en ébullitions, l'ordre est clair et le caoutchouc s'élève vers le blond. Ne meurs pas, Skyler.

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Le membre 'Dimitri E. Lloyd' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Combat' : 1