◮ naissance : 01/04/2012 ◮ meurtres commis : 14 ◮ avatar : Jodelle Ferland ◮ citation : Je n'ai aucun souvenir de ma vie passée... Je ne sais pas quel genre de personne j'étais vraiment. La vie elle-même est une chose assez vague pour moi... Est-elle laide... ou magnifique... Une punition ou un cadeau précieux, je ne sais pas. mais je vais le découvrir ! J'ai besoin d'un but.... ◮ statut : Célibataire
| Sujet: Eve Feynman Dim 1 Avr - 14:52 | |
| Eve Feynman “ Je n'ai aucun souvenir de ma vie passée... Je ne sais pas quel genre de personne j'étais vraiment. La vie elle-même est une chose assez vague pour moi... Est-elle laide... ou magnifique... Une punition ou un cadeau précieux, je ne sais pas. mais je vais le découvrir ! J'ai besoin d'un but.... you know i'm here
NOM Ҩ Feynman PRÉNOMS Ҩ Eve SURNOM(S) Ҩ aucun. ÂGE Ҩ 17 ans physiquement. DATE DE NAISSANCE Ҩ inconnu. LIEU DE NAISSANCE Ҩ Gotham city. CAPACITÉS Ҩ le corps d'Eve est truffée de nanomachine qui lui procure une guérison de toute les blessures possible et imaginable mais aussi de pouvoir transformée certaine partie de son corps. Ces nanomachines lui permettent de déformer son corps, faisant par exemple sortir des lames de ses bras. Lorsqu'elles sont excitées extérieurement, Eve perd le contrôle d'elle-même. Les ondes IEM pourrait lui être fatal, ainsi qu'une surchage électrique.STATUT CIVILҨ célibataire. ACTIVITÉ(S) Ҩ SDF. CARACTÈRE Ҩ méfiante, naïve. SECRET(S)Ҩ Ne distingue pas le bien du mal. SIGNE(S) PARTICULIER(S)Ҩ son apparence physique à tendance à varié, de petite fille à jeune adolescente. GROUPE Ҩ Beautiful Humans. if we exchanged the roles.Naïve ◦ Perdue ◦ Intelligente ◦ Pourrait tout apprendre même les sentiments si on prenait le temps ◦ Sans racine ◦ Sans souvenir ◦ Extrêmement méfiante ◦ Etrange ◦ Aime la fraise ◦ Aime l'art ◦ Retient absolument tout comme une éponge the story of my life.
Partie I : L’espoir fait vivre.
« Pour le moment, nous pouvons la maintenir en vie mais… » « Non…Elle reste en vie… »
Je me souviens encore de la voix tremblante de ma femme, des bips constants des machines et le souffle artificiel de l’une d’entre elle. Ma petite fille…Eve…Ce connard de chauffard a plutôt intérêt à ne jamais croisé ma route, tout ça est de sa faute ! Ma petite fille est sur un lit d’hôpital dans un semblant de vie artificielle, elle n’a que 10 ans bon sang ! Elle ne pourra plus rire, je ne pourrai plus l’entendre rire mais surtout la femme que j’aime ne pourra plus jamais sourire. C’est à peine si elle me laisse entendre encore le son de sa voix, et c’est en quittant les lieux, laissant ma femme dans la chambre de notre fille que je décide de tout mettre en œuvre pour que cette situation cesse immédiatement ! J’y passerai des heures, des jours, des semaines, des mois et même des années. Plus le temps passe et plus les choses semblent reprendre son cours, ma femme semble faire son deuil mais je m’y refuse !
« EVE N’EST PAS MORTE ! »
Je l’avais hurlé si fort, de tout mon être, de tout mon cœur…Ma petite fille, mon petit ange. Et la promesse que je me suis faites il y a septs ans maintenant, malgré tout l’argent que j’y ai investi, toute l’énergie, je pense enfin y être arrivé. L’hôpital refuse de me rendre ma fille mais j’en ai rien à faire, je viens te chercher, je t’emporte avec moi et on me considère comme un hors-la-loi, un criminelle, quel ironie ! Je suis là pour te rendre ce qu’on t’a volé ! Parce que cette putain de ville est incapable de te rendre justice ma petite Eve…Incapable de faire quoi que ce soit…Elle n’est que la pathétique spectatrice de son propre déclin. Ma main posée sur ta joue, je me remémore ton dernier anniversaire, tes rires, tes sourires, et tes yeux…Ton regard pétillant comme j’aimais tant à le dire. Et si je suis incapable de te ramener à la maison, notre vraie maison, si je suis incapable de te rendre ton sourire, alors je préfère autant mourir. C’est dans cette perspective que j’arme un revolver, dans la cave de notre maison familial, mon bureau, je suis scientifique et c’est la science qui va m’aider à te ramener et non les inutiles prières.
Une première injection, une seconde, je pose les électrodes sur ta boite crânienne et j’envoie la décharge qui activera ce bijou de technologie qu’est les nano machines. Elles ont l’exact programmation, tels des globules, ils prendront soin de toi ma chérie, plus aucune blessure, plus aucune coupure, plus de bobo, juste le bonheur, la joie de vivre…Ma petite princesse. Je ferme les yeux, inspire profondément et ôte de tes voies respirations le long tuyau qui gonfle tes poumons t’oxygène. Tu ne respires plus et je fixe ta poitrine dans l’espoir de la voir ce soulever dans la vie mais tu ne respires toujours pas et mon dieu…Que les minutes sont longue, je sens mon cœur s’arrêter, ma respiration se couper, mes larmes me monter aux yeux, je ne pourrai pas supporter de vivre une année de plus sans entendre tes espiègleries, sans t’entendre m’appeler « papa ».
Ma main se pose sur mes yeux, je retiens un sanglot et je me laisse glisser sur ton lit…Aurais-je échoué ? Je pleure sans pouvoir m’arrêter, le chagrin m’immerge et je me noie littéralement, incapable de pouvoir véritablement reprendre ma respiration. C’est une délicate chaleur qui se pose sur ma tête qui finit par me faire sursauter, je me lève, tu as les yeux ouvert, tu es faible mais tu respires. Ton regard est étrange mais cela n’a pas d’importance parce que je retrouve ma petite eve, ma petite fille, ma petite princesse. Je te prend doucement dans mes bras, j’ai si peur de ta casser en deux, j’ai tellement peur…Peur de perdre à nouveau.
« Eve… »
Je te repose délicatement sur le lit, je t’ordonne doucement de dormir, je t’explique que tu es très fatigué et très malade mais que ton papa veille sur toi, que ton papa sera toujours là, toujours là pour toi.
Partie II: La vérité tue...
Il parait que je m’appelle Eve. C’est du moins ce que le monsieur m’a dit quand j’ai commencé à parler. Il m’a dit que je ne devais pas m’inquiéter, que mes souvenirs allait revenir et pourtant…J’ai beau faire absolument tout ce qu’il me dit, je n’arrive pas à me souvenir. Je lui ai demandé ce qui m’était arrivé et il m’a alors raconté que j’étais sa petite fille, que lui et maman m’aimait vraiment beaucoup et que nous étions heureux mais qu’il y a sept ans de cela, le lendemain de mes dix ans, un homme en voiture m’a foncer dessus alors que j’attendais le bus scolaire devant la maison. Il m’a dit que je me suis alors endormie sans plus pouvoir me réveiller mais qu’il a mis tout son cœur pour trouver une solution, il a mis sept ans pour que je puisse me réveiller. J’apprends doucement à refaire des choses simples comme marcher, je me sens parfois si bête. Maman est venu me voir le lendemain de mon réveil, papa avait l’air fière de son travail, fière de me voir réveiller mais maman, elle, elle s’est simplement mise à pleurer et elle est remontée à l’étage. Je vis comme une petite fille, d’ailleurs mon corps change parfois…Papa dit que c’est un des effets du médicament qu’il m’a donné pour me réveiller.
Maman regarde souvent une photo de moi, avant, j’ai envie de lui faire une surprise…J’ai retrouvé la robe dans la chambre, dans ma chambre…Je l’ai mise et je suis venue la voir :
« Maman… » « Ne m’appelle pa…Mais…Qu’est-ce que tu as fait ? » « J’ai mis ma jolie robe… » « Ce n’est pas TA ROBE ! » « Mais maman… » « NON ! Ne m’appelle pas comme ça ! Je t’en supplie ! Ma petite fille est morte, tu n’es pas ma petite fille ! EVE EST MORTE ! »
Elle m’a lancé un objet au visage, ça m’a fait mal, et je l’ai regardé sans comprendre pourquoi elle pleurait, pourquoi elle était triste, je suis Eve non ? J’ai du sang sur les doigts, mais je n’ai plus de blessure, papa dit que c’est les médicaments, il éloigne maman et me demande de redescendre…Et je le fais.
Je les entends se disputer, de plus en plus souvent. Maman arrête pas de dire que je ne suis pas sa petite fille, c’est vrai que je n’ai pas de souvenir mais, c’est mon corps, mon visage, j’ai les yeux, le nez, la bouche, si je ne suis pas sa petite fille, qui je suis ? Papa m’a expliquer que maman était triste parce qu’elle c’était simplement faite à l’idée de ne jamais plus me revoir et qu’aujourd’hui, c’est beaucoup trop d’émotion pour elle, qu’il lui faudrait du temps…Beaucoup de temps…Que ce n’était pas de ma faute. Je ne comprends pas grand-chose, il me sert dans ses bras, je le sers dans les miens.
Et puis un jour, j’ai eu le droit de remonter. Maman était partie, c’est papa qui me l’a dit, il m’a dit « il ne reste plus que toi et moi ma petite princesse, mais ce n’est pas grave, tous les deux on sera heureux ». J’ai le droit d’aller dans ma chambre maintenant, malgré tout, je n’ai toujours pas de souvenir de tout ça, de tous ces jouets, ces vêtements, je découvre tout et rien ne m’est familier, rien ne m’attire vraiment, c’est une chambre, à point c’est tout.
Partie III : Qui suis-je ?
Le père et la fille coulait des jours heureux, du moins, c’est ce qu’on aurait aimé croire mais à vrai dire, plus le temps s’écoulait plus le scientifique se rendait compte du nombre grandissant de différence entre la Eve qu’il avait connu et celle qui c’était réveillé un soir dans son laboratoire. Il apprenait aussi que les nanomachines qu’il lui avait injectés lui permettaient bon nombre de chose, la première découverte fut de voir qu’elle pouvait passer de l’apparence de ses 17 ans initiale à celle de sa petite Eve de 10 ans. Il savait déjà que les nanomachines permettaient à sa petite fille de guérir très rapidement des coupures, rien semblait pouvoir lui faire du mal à présent et l’enfant n’avait plus à craindre la mort aujourd’hui, du moins, plus de la même manière. Le scientifique savait pertinemment comment la tuer, il suffisait de neutraliser les nanomachines et pour ça il y avait différente façon : les ondes à impulsion électro magnétique, la moindre petite décharge électrique pouvait trop exciter les nanomachines et la mettre en déroute. Le plus radical serait de l’électrocuter dans de l’eau… Mais ce ne fut pas sa plus grande découverte, celle-ci, il l’a fit un soir lorsqu’il entendait de l’autre côté du mur les gémissements et les plaintes de l’enfant, elle faisait un cauchemar et il c’était rapidement levé pour la retrouver, s’arrêtant net à l’entrée de la chambre. Ce qu’il vit sous ses yeux était à la fois beau et extrêmement effrayant. Le bras droit de son enfant ressemble à une épée, fine, et tranchante…Elle l’abattit dans le mur comme on enfonce un couteau dans du beurre, laissant derrière son passage un petit trou pas plus épais que la lame. Il finit par prendre son courage à deux, immobilisant l’enfant pour pouvoir la réveiller, et à son réveil…Le bras redevint bras.
Depuis ce jour, l’homme passa énormément de temps à entrainer sa petite fille, n’allez pas croire qu’il souhaitait en faire une arme. Non…Tout ce qu’il souhaitait c’était qu’elle contrôle cette partie-là de ses capacités, il ne souhaitait pas que sa petite princesse tue ou blesse quelqu’un par accident. Et c’était étrange, toute l’éducation était à refaire, il se rendait compte que cette Eve-là n’avait plus aucun sens du bien et du mal, qu’elle avait tout à apprendre à ce sujet, tout… Elle n’aimait pas la glace à la vanille, préférait celle à la fraise alors que l’Eve qu’il avait connu ne jurait que par la vanille. Elle adorait peindre, et lire, alors que l’Eve qu’il avait connu préférait faire les 400 coups, grimper dans les arbres et jouer. Elle mangeait absolument tout alors que son Eve à lui passait plus de temps à marchander pour le repas qu’autre chose. Les différences s’accumulaient, les unes après les autres, et puis un jour le scientifique se dit alors :
« Eve est morte…Il y a 7 ans… »
Cette vérité, cette révélation, eut l’effet le plus douloureux que l’homme ait pu connaître. Ce qu’il avait réveillé un soir dans son laboratoire n’était pas sa Eve, c’était une toute autre petite fille, une petite fille sans souvenir parce qu’en réalité, elle était simplement née et avait tout à refaire. Faire le deuil de son enfant lui était impossible, il ne pouvait pas croire à cette possibilité qu’au final il ait simplement échoué dans sa promesse de faire revenir sa petite princesse parmi eux. Face au miroir de sa salle de bain, il ne se rendit pas compte qu’Eve était apparu derrière lui, jusqu’à ce qu’elle l’appelle :
« Papa ? »
Il se retourna vivement, essuyant d’un revers de la manche les larmes qui avaient commencé à poindre au coin de ses yeux. Observant l’enfant, il se souvenait alors que jusqu’à présent, il ne l’avait jamais vu sourire, ni même pleurer. Machinalement, il l’emmena dans sa chambre, la borda, et l’embrassa sur le front, mais avant qu’il ne sorte, elle lui demanda :
« Tout va bien ? »
Il acquiesça, ferma la porte derrière elle et s’en alla… Aujourd’hui, ce ne fut pas la voix de son père qui la réveilla, mais un rayon de soleil directement posé sur ses paupières. Elle s’étira, quitta son lit et fit la route jusque dans la cuisine, se disant que peut-être il n’avait pas eu le temps de terminé le petit déjeuné…Mais rien, le silence complet.
« Papa ? »
Demanda-t-elle une première fois, sans jamais avoir de réponse, elle chercha dans chacune des pièces de la maison, mais elle ne trouva pas son père…Jusqu’à ce qu’elle décide de revenir à l’endroit où elle c’était un soir réveillée. Elle ouvrit la porte grinçante, les lieux étaient plongé dans les ténèbres, seul une lueur provenant du fin fond du laboratoire lui parvenait :
« Papaaaa ? »
Aucune réponse, mais elle décida de descendre malgré tout. Cette pièce lui semblait beaucoup plus familière que tout le reste de la maison mais son père, depuis qu’il l’avait amené à l’étage, ne souhaitait plus la voir en ces lieux. Arrivé enfin au laboratoire, elle retrouva l’homme qu’elle cherchait. Il était silencieux, le teint terne, il semblait n’avoir plus de force… Ces pieds ne touchaient plus le sol, une chaise renversée s’y trouvait à la place, alors que sa tête permettait à son corps cette position de « lévitation » grâce à une corde enroulée autour de son cou, accroché soigneusement sur l’une des poutres solides de ce laboratoire. L’enfant resta un moment interdite devant ce spectacle, ignorant complètement ce qu’elle devait dire ou bien faire. S’approchant, malgré tout, elle finit par posé ses yeux sur ce qu’illuminait la lampe de bureau…Sur le mur, il était écrit partout "Eve est morte, désolé", des milliers de fois, c’était tellement fouillis et répété qu’on avait du mal au premier coup d’œil à lire ses quelques mots. Se tournant vers la dépouille pendue de son père, elle le fixa :
« Je suis qui alors ? »
Partie IV: Il était une fois...
Il était une fois, une petite fille sans parent, sans souvenir, sans but, elle ne savait pas qui elle était. Fruit d'une expérience scientifique, elle ne connaissait rien, absolument rien, ne savait pas ce qu'était un rire, un sourire, ni la douleur...Elle n'apprenait pas les choses de la même manière parce que cette petite fille était pas née du fruit entre l'amour d'un homme et d'une femme, elle était née de l'obsession et des connaissances de l'homme.
Abandonnée de tous, elle commença à errer seule dans les rues dangereuse de Gotham, ne demandant qu'une seule et unique chose: Savoir qui elle était vraiment... Observatrice et discrète, elle enregistrait le mode de vie de bon nombre d'habitant de Gotham City et bon nombre d'entre eux n'était pas un exemple à suivre pour une petite fille à peine née. Parfois petite fille, parfois jeune fille, elle n'en restait pas moins qu'un nouveau né dans cette ville.
you give love a bad namePSEUDO/PRENOM Ҩ Selli/zuzu/Asa CONNEXION Ҩ 4 à 5 jours sur 7 OU AS-DÉCOUVERT LE FORUM Ҩ Une amie d'Harley Quinn. CODE DU RÈGLEMENT Ҩ validée par lennon UNE SUGGESTION ? UN AVIS ?Ҩ Joli boulot, super accueil UN DERNIER MOT Ҩ - Code:
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Dernière édition par Eve Feynman le Mer 4 Avr - 9:15, édité 4 fois |
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