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You'd better look out for Poison Ivy

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Pamela L. Isley
Pamela L. Isley

◮ naissance : 11/04/2012
◮ meurtres commis : 11
◮ avatar : Bryce Dallas Howard
◮ citation : Hell, I am Mother Nature, and the time has come for plants to take back the world so rightfully ours.
◮ statut : célibataire

You'd better look out for Poison Ivy Vide
MessageSujet: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitimeMer 11 Avr - 22:10



Pamela Lillian Isley

“You can look but you’d better not touch.

you know i'm here

NOM Ҩ Isley PRÉNOMS Ҩ Pamela Lillian SURNOM(S) Ҩ Poison Ivy. On a bien tenter de lui donner d’autres surnoms plus affectifs, comme Pam ou Pammy, mais cela s’est plutôt mal finit à chaque fois. Parce qu’Ivy n’est pas votre amie, et que vous n’avez donc aucun droit de lui donner un surnom mignon. ÂGE Ҩ vingt-trois ans DATE DE NAISSANCE Ҩ 12/10/1989 LIEU DE NAISSANCE Ҩ Seattle CAPACITÉS Ҩ A un doctorat de Botanique et de toxicologie, une intelligence supérieur à la moyenne, une connexion mystique avec les plantes lui permettant de les manipuler et est immunisée contre les toxines. Elle peut aussi sécréter des phéromones attirant les hommes et pouvant les empoisonner en un baiser. STATUT CIVILҨ Avouez qu’avoir une relation sérieuse avec quelqu’un serait plutôt contre-productif en ce moment. Sérieusement…Célibataire. ACTIVITÉ(S) Ҩ éco-terroriste, criminelle… Vous savez, ce truc affreusement glamour et en vogue. Oui, sauf que Poison Ivy ne fait cela ni pour le glamour, ni pour le goût du risque, mais pour défendre ses propres principes. Et puis, pardonnez, mais qu’y a-t-il de glamour à cambrioler une banque ou tenter de faire exploser un laboratoire pharmaceutique ? Comme couverture, cela dit, la rousse se dit botaniste et activiste écologiste. CARACTÈRE Ҩ Il serait difficile de décrire Pamela Lillian Isley avec exactitude. Avant, il aurait été possible de la décrire naïve, réservée, signe de son enfance dans une riche famille dont la mère aurait préféré avoir une fille belle plutôt qu’intelligente et dont le père avait la gifle qui partait vite lorsqu’il rentrait d’un cocktail mondain trop arrosé. Pourtant, de l’intello discrète qui passait tout son temps à lire, cachée au fond du jardin, il ne reste rien, ou presque. Pourrait-on dire alors que Pamela est une garce mégalomane et égocentrique ? Non. Car Pamela n’a rien de garce, de mégalomane, ou d’égocentrique. Au contraire, on la dira passionnée, engagée, un trait de caractère invariable malgré ses sautes d’humeur. Attention, cela dit, à ne pas confondre : Pamela a une mission, un but qu’elle défendra jusqu’à la mort, mais n’est pas du genre à sauter sur la moindre cause perdue, étant donc parfaitement intéressée. Vous ne la ferrez pas pleurer face à une affiche illustrant la disparition des bébés pandas, parce que les pandas sont des êtres vils et pervers, se nourrissant ingratement de la flore qui les accueille et les protège. Une autre invariable ? Ses méthodes plus que douteuses pour défendre ce en quoi elle croit. Ayant appris très rapidement que la légalité n’avait rien à lui apporter, Pamela lui préfère donc une vie de crimes et de tourments, quitte à s’ériger en martyr pour la défense de ses plantes adorées, qui constitue la troisième invariable de la nouvelle personnalité de Pamela : Son amour pour la flore, le lien si sélecte et presque télépathique qu’elle a avec les plantes semble être sa raison d’exister. Pour ce qui est du reste, les variables sont nombreuses, la santé mentale de la rousse étant plus que fragile, instable au possible. Pas forcément violente, préférant la manipulation, elle reste sujette aux sautes d’humeur, et vas-y que je te fasse exploser une usine pharmaceutique ayant fait s’éteindre une variété de plante à présent disparue. Pas franchement pacifiste, comme approche. Se riant de la loi, créant ses propres règles, la rousse est profondément misanthrope, à deux exception près : Les histoires vraies tristes à en pleuré d’orphelins victimes d’abus ou de femmes battues par leurs maris pathétiques ont tendance à la toucher plus que de raison, et il lui arrive donc de se transformer en justicière d’une heure pour régler les problèmes de ses gens, puis recommencer à les haïr. Il y a donc en Pamela une dualité indéniable, différentes facettes qu’elle ne montre qu’aléatoirement. L’espace d’une seconde, elle est prête à tuer ; l’autre, elle s’est lassée et préfère simplement fuir avec l’argent. Tantôt séduisante et létale, tantôt lointaine et froide, Pamela elle-même n’est pas sûre de sa véritable personnalité, et a un aspect volatile et malsain. Seulement, elle reste une personne déterminée et dangereuse, en dépit de ses nobles attentions. Après tout, « la route des enfers est pavée de bonnes intentions ».SECRET(S)Ҩ Poison Ivy n’a rien à cacher. Elle sélectionne juste les informations qu’elle dit et à qui elle les dit, et ce qu’elle préfère garder pour elle. Le mensonge par omission est le moyen le plus sûr de ne pas se faire prendre. SIGNE(S) PARTICULIER(S)Ҩ Une odeur florale sans avoir besoin de parfum, un teint pouvant virer au verdâtre tout en restant sexy et, de temps à autres, des vignes remontant le long de ses bras et de ses jambes. GROUPE Ҩ back in black
if we exchanged the roles.

Instable, à manipuler avec précaution donc. ◦ Misanthrope. Oui oui, cela veut bien dire qu’elle n’aime pas les humains. Oui, cela veut dire qu’elle ne sera probablement jamais votre amie. ◦ Poison Ivy a plus de finesse que le criminel de base : Elle sait se battre, mais préfère largement manipuler et agir dans l’ombre. ◦ A fait deux expériences de mort imminente, ça laisse des traces. ◦ pousse le féminisme à son extrême, elle peut donc dans un moment de lucidité avoir de la compassion pour les femmes et enfants dont on a abusé de quelque manière que ce soit, car elle se retrouve en eux (mais cela, elle ne l’avouera jamais). ◦ Pamela se croit au dessus des notions humaines. Elle n’a que faire des mots honnêteté et confiance, ainsi que du fait qu’on ne doive pas se servir des gens sans vergogne. ◦ Les plantes sont comme ses enfants. Menacez de balancer un bonzaï par la fenêtre de votre chambre, et vous devriez facilement la calmé…Ou l’énerver encore plus, si elle en a après vous. ◦ Bien qu’elle ait une maison, elle se réfugie la majeure partie du temps dans le parc de Gotham ◦ Pamela a pris quelques propriétés des plantes lors de sa transformation, et ne peut donc survivre sans eau ni soleil, souffrant donc rapidement d’un stade de dépression plus qu’alarmant dès qu’elle est enfermée. ◦ Elle ne se l’avoue pas à elle-même, mais elle ne sait pas ce qu’elle fera de Woodrue une fois qu’elle l’aura retrouvé, elle sait juste qu’elle veut se venger. ◦ Plutôt solitaire (on l’aura compris), elle fait donc généralement bande à part des autres criminels de Gotham ◦ Elle manipule Jason Gordon, et même si cela l’amuse pour l’instant, elle risque de se lasser facilement. ◦ Sa transformation l’a radicalement changer, au point qu’il ne reste de la Pamela fragile et naïve qu’un arrière goût amère et une haine sans borne pour les oppresseurs. Cela dit, elle ne se considère même plus humaine ◦ Elle aime séduire, et aime tout les avantages qu’elle obtient d’un train de vie de luxe, mais s’en sert principalement pour se faire des contacts et trouver les personnes à abattre pour faire changer les choses. ◦ Malgré ses méthodes plus que discutables, les buts de Pamela reste nobles à ses yeux. ◦ La vie des humains, la sienne comprise, lui importe peu en rapport à celle des plantes ◦ Elle a une odeur toute particulière et florale, qui change selon son humeur ◦ Elle ne boit jamais de caféine, ne touche à l’acool que si le contexte l’y force, et a pleuré la première fois qu’elle a vu une salade en sortant de l’hôpital ◦
the story of my life.

La vision de la jeune femme était floue, comme une énorme tâche blanche avec quelques nuances colorées par endroit. Lorsqu’elle tenta de respirer, la jeune femme s’étouffa, prise d’une toux rauque et faible. Pamela bâtit lentement des paupières, tentant de se souvenir pourquoi elle n’était pas morte. C’est alors qu’elle entendit quelqu’un sortir en trombe de la pièce, puis deux personnes y rentrer de la même manière. Des mains féminines se posèrent sur sa jugulaire, et la jeune femme bâtit un peu plus des paupières, recouvrant petit à petit sa vision. Elle était à l’hôpital… Pourquoi était-elle à l’hôpital ?
« Mademoiselle Isley, c’est bien cela ? Vous rappelez-vous de ce qui vous a conduit ici ? »
L’homme n’obtenu pas de réponse, Pamela regardant lentement tout autour d’elle, cette chambre aux odeurs factices lui faisait tourner la tête, lui donnant envie de s’enfuir. D’un geste nerveux, la jeune femme se passa la main dans les cheveux, se rendant alors compte d’une chose : Ils n’étaient plus bruns, mais d’un rouge éclatant. Sursautant à la vue de sa tignasse, la belle se palpa le visage. Ses lunettes aussi, avaient disparues, et pourtant elle voyait parfaitement clairement, détaillait les choses.
« Qu’est-ce que vous m’avez fait ? » Demanda-t-elle faiblement.« Qu’est-ce que vous m’avez fait ? »Elle venait d’hausser le ton, en un hurlement rempli de rage et de nervosité. Le haut de son corps s’était relevé comme dans un spasme, arrachant au passage quelques uns des appareils reliés à son bras. Durant quelques secondes, elle semblait comme possédée, prête à sauter à la gorge du médecin. Et puis, ses yeux s’embrumèrent l’espace d’un instant, sans prêter attention à l’incompréhension du docteur et de son infirmière. Elle se laissa de nouveau tomber sur le lit inconfortable de la clinique. Elle se souvenait, à présent. Elle se souvenait de tout, de son père qui buvait trop, de sa main contre son visage, des remontrances de sa mère lorsqu’elle partait pour l’école. « Pourquoi a-t-il fallut que je t’ai, toi, et pas la petite Madison ? » Pamela se souvenait des moqueries de ses camarades, claquant comme les coups d’un fouets, elle se souvenait s’être coupée elle-même ses longs cheveux bruns à l’âge de onze ans, et des cris et insultes de sa mère lorsqu’elle s’en était aperçu, de ses cheveux sur lesquels on tirait abondement. Elle se souvenait du jardin, de l’immense jardin dont elle s’occupait, du goût des responsabilités, d’avoir pleuré des heures sous l’immense citronnier, de s’être fait une entorse en courant se cacher de son père. Elle se rappelait de la voix glacée de son père. « Tu n’es qu’une idiote. » « Comment espères-tu te trouver un mari en étant si hideuse ? » Pamela se souvenait de l’Université, dans laquelle elle était rentrée trop jeune, enfant prodigue trop intelligente d’une famille ne voyant que le pouvoir des apparences. « Et tu espères faire quelque chose en étudiant la botanique ? Déjà que tu es moche, alors tu pourrais au moins apprendre quelque chose d’utile, du droit par exemple. » Et puis, Jason Woodrue. Le tourbillon de ses souvenirs ralenti alors brutalement, lui rappelant à quel point elle l’aimait. Oui, elle l’aimait si fort, si passionnément, d’un amour ridicule d’écolière. Seulement, elle n’avait pas compris à temps à quel point elle était pathétique. Elle ne voyait que lui, n’entendait que lui, qui la complimentait, lui affirmait qu’elle était douée, qu’elle avait du talent et une intelligence rare. Il lui trouvait de l’esprit là où son père ne voyait que des tares, l’érigeait en exemple à suivre plutôt qu’en femme objet raté. Plus que tout, il lui donna confiance en elle, changea sa manière de se tenir, la dirigea sur sa maîtrise, et lui proposa une place à ses côtés pour son doctorat en recherche. Pamela ne pouvait refuser et, lorsque Jason lui affirma enfin qu’elle lui était précieuse, la jeune Isley se jeta encore plus corps et âme dans leur relation et dans ses recherches. « Tu m’es indispensable, Pam. » Jamais de je t’aime, toujours des fausses promesses, comme s’ils étaient des amants secrets. Il avait d’ailleurs insister pour qu’elle se trouve un petit ami, et la brune avait obtempérer sans réfléchir, si naïve, si sotte, comme donnant raison à ce que lui avait si souvent répéter son père durant son enfance. « Il y aurait un moyen d’aller plus loin dans nos recherches. Tu en serais l’élément maître. » Pas d’emploi du mot cobaye, encore moins du mot victime, juste des promesses de grandeur, de reconnaissance de leur travail, et de rentabilité de l’investissement qu’elle avait fait en lui grâce à l’argent de ses parents. Rien qui puisse l’effrayer ou lui mettre la puce à l’oreille. Et puis, de longues nuits sans sommeil, ou elle se retrouvait dans un état la plupart du temps semi-conscient. Elle se souvenait de la douleur des injections, une douleur sourde, et d’avoir perdu conscience deux fois. Trois, en comptant celle où elle s’était retrouvée à l’hôpital.
« Je… Je vais bien. » Finit-elle par murmurer au médecin qui la regardait d’un œil inquiet.
« Vous avez fait un coma de six mois, alors je crois que nous allons vous garder en observation encore quelques temps. Il vous faudra refaire des examens, les résultats que nous avons là sont trop incohérents. Cela dit, que vous soyez en vie relève du miracle. »
La jeune femme – à présent rousse – pinça des lèvres d’exaspération.
« Le laboratoire où les urgentistes vous ont trouvé était rempli de substances toxiques, alors il est fort possible que vous ayez besoin d’un traitement contre celles-ci. Vous devriez aussi considérer parler à l’un de nos psychologues. Six mois de coma et une expérience de mort imminente laisse des marques. »
« Trois. » Corrigea machinalement Pamela, se rappelant le nombre de fois où elle avait sentit l’effet du défibrillateur durant les expériences de Woodrue.
« Pardon ? »
« Rien. On est venus me voir ? »
Le médecin eut un air désolé, secoua la tête en réponse, puis sorti de la pièce.
C’est à ce moment là que Pamela réalisa enfin que Jason l’avait abandonné, et qu’elle ne sentait pas différente que parce qu’elle était dans un hôpital. Quelque chose avait du foiré, ou trop bien marcher, et il avait prit la fuite la croyant morte. Peut-être même avait-il appeler lui-même les urgences pour parfaire l’ironie. Ainsi, tout ce en quoi Pamela avait cru ces dernières années n’avait été que mensonge et tromperie. Le choc qu’elle eut fût tel qu’elle poussa un profond cri de rage, de déception, de désespoir, qui fit sursauter l’infirmière.
« Vous savez, je… Je suis désolée. » Murmura cette dernière avec un faible sourire un brin terrifier. Pour toute réponse, Pamela ricana. Lorsque les gens ne savaient pas quoi faire, ils disaient toujours qu’ils étaient désolés. Ce n’était jamais vrai, juste un piètre moyen de clore la conversation. Seulement, la dame en blanc finit par reprendre, malgré le regard noir de Pamela lui faisant clairement comprendre qu’il ferait mieux qu’elle s’en aille :
« En fait, il y a bien quelqu’un qui ait passé vous voir. Un jeune homme du nom de… Clark ? ça vous dit quelque chose ? »
Pamela hocha sèchement la tête. Clark. Son pseudo petit-ami.
« Il m’a laisser son numéro de téléphone, pour que je le rappelle à votre réveil. Vous voulez…Vous voulez que je le fasse ? »
« Je m’en fiche. » Cracha la rousse.
Clignant à plusieurs reprises des yeux, incrédule, l’infirmière finit par sortir de la pièce à son tour, laissant à Pamela le temps de réfléchir.

***

« Je me sens bien, je veux partir. Vous pouvez tenter de m’en empêcher, mais se n’est plus de votre ressort. Alors faites-moi signer cette décharge qu’on en finisse. »
C’était un mensonge, et les deux personnes présentes dans la chambre le savait : Depuis quelques jours, l’état de Pamela s’était aggravé, elle devenait livide ; ressentait comme une sensation oppressante qu’on lui enserrait le cœur, sensation ne passant pas ; toutes les cinq minutes, elle jetait un regard languissant par la fenêtre ; elle avait même été prise d’un accès de folie en voyant le bouquet de fleur que lui avait amené son petit-ami, brisant le vase et serrant les roses à pleines mains, se balançant en position fœtale et murmurant frénétiquement « Qui vous as tuer ? ».
Le médecin pinça donc les lèvres, lui jeta un regard à la fois déçu et inquiet, mais ne répondit que par un simple « Je savais que vous exigeriez cela. », lui tendant la fiche qu’elle avait à signer. Deux heures plus tard, Pamela sortait de l’hôpital.

***

« Clark ? Je squatte chez toi le temps de me remettre le pied à l’étrier. »
L’homme accepta bien vite, semblant même plus qu’apprécier les changements physiques qui s’étaient opérer en elle (« Tiens ? Tu t’es fait une teinture ? C’est joli. »). Seulement, plus les jours passaient, plus il se rendait compte de l’évidence : Pamela l’évitait, passait ses journées dehors à guetter le moindre rayon de soleil, et avait augmenter dramatiquement son nombre de participation aux manifestations écologiques, s’épuisant à la tâche. Elle n’était pas heureuse, et Clark n’était pas idiot.
« On pourrait partir, tu sais… Quitter Seattle, aller…en Floride, ça te plairait la Floride ? »
Pour l’une des rares fois depuis des semaines, le regard de Pamela s’éclaira, levant ses yeux du journal qu’elle lisait.
« J’ai mieux. Gotham City. Il paraît que tous les pourris du monde des affaires s’y trouve. C’est là qu’il faut frapper. »
« Frapper ? » Clark soupira « Pam, je te parle de changer d’air. »
« Et moi de sauver des vies innocentes, de voir plus grand que Seattle. »
« Des…Des vies ? Qu’est-ce que tu racontes ? »
« Tu as raison, Clark. Je pars. Sauf que tu ne viens pas avec moi. »
Quelques jours plus tard, on retrouvait Clark mort d’une rare toxine florale, ayant provoqué une anomalie sur sa moelle osseuse. Pamela, quant à elle, était parti pour s’installer à Gotham, avec pour but d’aider ses chéris, ses plantes, dans cette ville de malheur et dans le monde entier. Se créant rapidement l’alter-égo de Poison Ivy, elle semble même avoir définitivement laisser de côté la jeune Pamela Lillian Isley, et un – bien que rapide – séjour à Arkham Asylum ne l’a pas arrangé. Très vite, la jeune femme comprit et appris à maîtriser ses nouveaux dons, séduisant les hommes, se sortant de chaque faux pas par un sourire charmeur et des paroles sucrées suintant un prétendu intérêt. Seulement, si la rousse vit à présent à Gotham en toute impunité, ou presque, il lui reste le désir brûlant de retrouver Jason Woodrue. Elle a entendu qu’il se terrait quelque part dans la ville, et si les plantes semblent ne rien savoir à ce sujet, Poison Ivy – elle – est certaine qu’il ne doit pas être loin. Prête à assouvir son désir de vengeance, mais surtout à protéger ses chéries, il semblerait que Pamela soit d’autant plus solitaire qu’avant, se tenant aussi loin qu’elle le peut des autres super-vilains locaux. Après tout, elle vaut bien mieux qu’eux.
you give love a bad name

PSEUDO/PRENOM Ҩ Mathilde CONNEXION Ҩ Autant que possible, vu les cours. Au moins 4/7, sûrement plus. OU AS-DÉCOUVERT LE FORUM Ҩ Google est mon ami CODE DU RÈGLEMENT Ҩ validée par lennon UNE SUGGESTION ? UN AVIS ?Ҩ Je l’ai déjà dit dans mon message en tant qu’invitée, mais je suis vraiment heureuse de vous avoir trouvé ! 56 UN DERNIER MOT Ҩ 27
Code:
[size=11][b]BRYCE DALLAS HOWARD[/b] ☞ [i]pamela l. isley[/i][/size]



Dernière édition par Pamela L. Isley le Jeu 12 Avr - 9:59, édité 4 fois
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Lennon-Arizona A. Wilson
Lennon-Arizona A. Wilson
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MessageSujet: Re: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitimeMer 11 Avr - 22:20

welcome officiellement (a)
ton vava est sublime.
bon chance pour ta fichounette. et nous aussi on est contente de t'avoir parmi nous. 12
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Jack R. Napier
Jack R. Napier

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MessageSujet: Re: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitimeJeu 12 Avr - 2:01

Bienvenueeee !
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Skyler-Phoenix N. Hawkes
Skyler-Phoenix N. Hawkes

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MessageSujet: Re: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitimeJeu 12 Avr - 3:11

Bienvenue parmi nous :D
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Ashleigh R. Stanford
Ashleigh R. Stanford

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MessageSujet: Re: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitimeJeu 12 Avr - 7:24

Bienv'nue à toi ^^
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Pamela L. Isley
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MessageSujet: Re: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitimeJeu 12 Avr - 10:05

Merci à vous 57
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Lennon-Arizona A. Wilson
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MessageSujet: Re: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitimeJeu 12 Avr - 10:38

j'adore ta présentation, je te valide avec joie.
bon jue à Gotham.
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Sheeva N. Bowen
Sheeva N. Bowen

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MessageSujet: Re: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitimeJeu 12 Avr - 10:53

Ouiiiii Poison Ivy 12

Bienvenue parmi nous *-*
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Pamela L. Isley
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MessageSujet: Re: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitimeJeu 12 Avr - 17:42

Amanda *0*

Breef, merci 51 Et merci pour la validation Lennon ^^
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MessageSujet: Re: You'd better look out for Poison Ivy You'd better look out for Poison Ivy Icon_minitime

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